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COMMUNIQUE DE PRESSE
Erick Bonnier Editions
parution 25 mai 2017

ITINÉRAIRE D’UN APPRENTI SOUFI
Un beau chemin de spiritualité et de romantisme au XXIe siècle.
La guérison par l’amour…

Itinéraire d'un apprenti soufi est le récit autobiographique d'un homme qui, 10 ans après le décès de sa fille, va entreprendre un cheminement de sagesse pour venir en aide à sa femme et à lui-même, complètement détruits par la perte de leur enfant.

Leur histoire d'amour impossible, est semblable à celle de Roméo et Juliette, Tristan et Yseult, Leila et Majnoun. Il est d'origine tourangelle, elle d'origine kabyle, il est tombé amoureux d'elle au premier regard, elle fera un choix déchirant entre sa famille et lui.
Il trouve cette sagesse dans le soufisme. Il est guidé par un saint homme rencontré à Lefke, qui semble présent à chaque rencontre déterminante sur ce chemin. Plus il avance, plus il découvre la voie de l'amour et de la compassion. Il se renforce, se reconstruit, devenant, étape par étape, un pôle d'harmonie pour sa famille. Le rire et la joie sont de retour dans la maison, mais l'équilibre est fragile. Il va ensuite découvrir l'œuvre de Djallal ud-din Rûmi, qui résonne dans son coeur comme les notes d'une musique qui sommeillait en lui, puis il devient joueur de Ney, la flûte sacrée des derviches. Sans formation, initié et autorisé par Sheikh Nazim al-Haqqani, Al Qubrusi, 40ème Maître de la confrérie des Naqshbandis, son jeu n'est pas orthodoxe, car il le pratique en improvisation à la lecture de Rûmi.
Conscient de l'universalité des lectures de Rûmi, ce mystique du XIIIe siècle dont Shakespeare disait qu'il était le plus grand poète de tous les temps, et de son jeu de Ney qui en découle, il voyage à la manière des soufis andalous, comme guidé par un appel spirituel : il se rend et joue dans les lieux sacrés à Jérusalem, Damas, Homs, Lattaquié, et à Pétra, sur la tombe d’Aaron, mais aussi sur le mont Moïse, sur le Jabal Hâbîl, où se trouve la tombe d'Abel, et sur le mont Quassioun, lieu de la grotte sacrée où aurait eu lieu le premier meurtre de l'humanité, là où selon la tradition, Abraham, Jésus, Saint Georges seraient allés prier.
À Maaloula, où la montagne se serait ouverte devant Sainte Thècle, disciple de Saint Paul, fuyant son père, il écoute la messe en araméen, puis il joue de ses envolées mystiques à Bosra dans le monastère en ruine où un prêtre reconnut le sceau de la prophétie, sur le dos du prophète
Muhammad, alors en compagnie de son oncle Abu Talib.
Pendant cette période, où il donne de nombreux concerts, joue dans ces lieux, il est en charge de l'Europe, du Moyen-Orient et de l'Afrique, chez un éditeur de logiciels, en ayant quitté l'école à 16 ans et trouve le moyen de concilier ses activités avec ses aspirations, tout en prenant soin de sa
famille.

Communiqué de presse - Biographie
Né d’une famille ouvrière, élevé loin de toute tradition religieuse, Thierry Brunet perçoit dès son plus jeune âge la beauté du divin en toute chose.
Tour à tour chanteur, musicien, danseur , il suit les cours Florent avant de se lancer dans une quête spirituelle à la suite de la perte de sa fille.
Après avoir étudié la mythologie grecque, le christianisme et le bouddhisme, il finit par trouver sa famille de cœur : le soufisme. Non seulement l’œuvre poétique de Rumî s’impose à lui comme une évidence, tellement sa vie en est bouleversée, mais encore il découvre l’art du Ney, la flûte sacrée des mystiques.
Réputée unique, la subtilité de son jeu de Ney fait chavirer les cœurs, de
Jérusalem à Damas. Pendant plus de quatre ans, il donne des concerts en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique.
Aujourd’hui, il nous livre en toute humilité un témoignage d’une rare vérité sur ce chemin de vie qu’est le soufisme. Familier des Maîtres de Sagesse, il jette un regard d’amour sur ce qu’il a vécu, dans la belle tradition des grands mystiques.
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Thierry Brunet quitte l’école à 16 ans, devenant tour à tour pompiste, danseur de
Modern Jazz, chanteur, musicien, coursier, archiviste, maître-chien, gardien de nuit,
il reprend les études par correspondance suite à la rencontre avec son épouse et devient aide-comptable, en même temps qu’il étudie le théâtre au cours Florent. Par la suite il entre chez un éditeur de logiciels américain et devient ingénieur Support Logiciels, chef de produit, consultant en intégration “logiciel”, Business Technologist et Business Development manager en charge de l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique.
C’est à ce moment qu’il découvre l’art du Ney, la flûte sacrée des derviches, dont il jouera pendant 7 ans au Maroc, en Turquie, Syrie, Jordanie, Russie, Allemagne,
Belgique en France et aux États-Unis. Thierry Brunet est membre du Centre
d’Etude et de Prospective Stratégique et conseiller du Club État moderne et cohésion sociale.
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PROLOGUE
Je m’appelle Thierry, Michel, Georges Brunet dans la vie matérielle et Ahmed Kazim dans la vie spirituelle. J’ai les pieds sur terre et la tête dans les airs. Je livre ici un témoignage personnel, un voyage au beau pays de la tolérance, pour les croyants de toutes religions et spiritualités qui voudront bien me lire, et pour les libres penseurs, les agnostiques et les athées qui souhaiteraient mieux humer le parfum d’un soufisme vivant au XXIe siècle, loin des guerres de religions et des considérations politiques, et en parfaite harmonie avec les cinq piliers de l’Islam et la Sunna, la Tradition du Prophète.

“Purifie-toi des attributs du moi, afin de pouvoir contempler ta propre essence pure, et contemple dans ton propre cœur toutes les sciences des prophètes, sans livres, sans professeurs, sans maîtres. Le livre du soufi n’est pas composé d’encre et de lettres ; il n’est rien d’autre qu’un cœur blanc comme la neige”.
Jalal ud-din Rûmi

De 2002 à 2012, j’ai fait des rencontres inoubliables, vécu des expériences mystiques, visité des lieux sacrés et pratiqué les cérémonies de différentes confréries, du Maroc à la Russie, de l’Égypte à la Turquie, en passant par Jérusalem tout en ayant une activité professionnelle et en prenant soin de ma famille. Je n’étais pas du tout préparé à ce voyage, j’ai été un invité.

“Comprendre le monde dans sa globalité”
Adolescent, et comme guidé par l’idée que l’apprentissage devait avoir un sens, au-delà du savoir, je n’avais pas pu m’intégrer dans l’école ; en revanche, j’avais lu, enfant, des dizaines de fois l’encyclopédie « Tout l’Univers » et j’avais compris qu’il me fallait appréhender la vie dans une globalité liée à l’histoire de l’humanité, dont je me sentais déjà un des héritiers.
À l’école, seul l’enseignement du français, de l’histoire, et des langues étrangères m’intéressait, car j’y trouvais des racines, une évolutivité et une résonance. Je percevais si peu de passion dans les cours de mes professeurs, que je quittai l’école à seize ans, devenant au fil des années, en parfait autodidacte, un consultant expert en modélisation de bases de données et de processus et en transformation des systèmes d’information. C’est alors que je voyageai en Europe et au Moyen-Orient. De plus je n’avais pas reçu d’éducation religieuse, même s’il me suffisait de regarder les nuages pour crier au miracle.
Plus tard, j’ai recherché des règles, une méthode, une vision, une sagesse, pour donner un sens à ma vie et réunir des morceaux épars, tant je me dispersais dans ces efforts de compréhension. Je me représentais que je ne pouvais plus concevoir notre évolution dans son ensemble, tout en sachant que la clef était là, quelque part. J’avais parfois l’impression d’exploser à force de réfléchir et me demandais en pleurant : « Mais qui suis-je ? Qui suis-je ? »

“Une spiritualité s’appuyant sur une religion”
Dans ce livre, je n’expliquerai pas une religion pour la défendre. L’Islam existe malgré les désaccords et chacun en a sa vision. Il contient des écoles, des interprétations, des fanatiques, des fous, des gens de paix, et tous lisent le même Livre. C’est pourquoi je me contenterai de relater un cheminement et des rencontres.

N’ouvre pas la bouche pour expliquer ces trois choses :
Ton départ, ton or, et ta religion.
Pour ces trois choses il y a un adversaire et un ennemi
qui te guettent quand ils le savent.
Rûmi

“Relier le présent à la tradition universelle”
Au contact des maîtres soufis, j’ai découvert une méthode pour cheminer et reçu des enseignements qui m’ont aidé à me transformer, à me rapprocher de Dieu et de moi-même, par la voie du coeur et de l’amour. Grâce aux lectures, aux exercices spirituels, mais aussi à l’expérience de la vie et de ses épreuves, j’ai trouvé un moyen de relier le présent à la tradition universelle, si chère à René Guénon, en méditant au moyen de la répétition des noms sacrés d’Allah et de la récitation des versets du Coran en arabe, une des trois langues sacrées du Moyen-Orient, avec l’hébreu et l’araméen. Sur ce chemin, j’ai rencontré Sheikh Nazim, quarantième maître de la Naqshbandiyya jusqu’à son Décès survenu en 2014, (paix à son âme), l’un des plus grands guides spirituels de son temps, responsable des affaires religieuses de l’ONU de 1993 à 1997, ami des chefs spirituels, des papes et des rabbins, et suivi par plus de trois millions de fidèles dans le monde. Certains disent trente millions, si l’on compte les autres chefs de confréries soufies qui lui firent allégeance et qu’il influença de ses enseignements.

Thierry Brunet
communiqué de presse

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